Pour l'occasion, une cérémonie a été organisée au siège du groupe, à Toulouse, et on a appris que ce 10 000e avion affichera fièrement son numéro ! Les passagers qui voyageront entre Singapour et San Francisco sauront sans aucun doute apprécier cette petite attention. C'est en 1974 qu'Airbus a livré son premier avion ; à l'époque, il s'agissait d'un A300B2 pour Air France.
L'avionneur a depuis fait bien du chemin. Il compte à son catalogue 16 modèles répartis dans toutes ses familles de produits (de l'A320 à l'A380). Le nombre de commandes enregistrés depuis les débuts est impressionnant : plus de 16 700 avions, dont 6 700 qui restent è livrer. Et cette année, Airbus s'est fixé pour objectif d'en fournir 650, qui vont de 100 à 600 places. C'est en bonne voie. La livraison de cette 10 000e unité coïncide d'ailleurs avec le pic de production de l'entreprise.
Le carnet de commandes actuel représente rien de moins que 10 ans d'activité. De quoi envisager l'avenir avec sérénité, même si tout n'est pas forcément rose pour Airbus. Récemment, l'Organisation mondiale du commerce a jugé que l'entreprise avait profité de subventions de plusieurs États membres de l'UE, des subventions qui ne répondaient pas aux normes de l'OMC. Un nouveau bras de fer s'est engagé entre l'Europe et les États-Unis dans ce dossier.
L'avionneur a depuis fait bien du chemin. Il compte à son catalogue 16 modèles répartis dans toutes ses familles de produits (de l'A320 à l'A380). Le nombre de commandes enregistrés depuis les débuts est impressionnant : plus de 16 700 avions, dont 6 700 qui restent è livrer. Et cette année, Airbus s'est fixé pour objectif d'en fournir 650, qui vont de 100 à 600 places. C'est en bonne voie. La livraison de cette 10 000e unité coïncide d'ailleurs avec le pic de production de l'entreprise.
Le carnet de commandes actuel représente rien de moins que 10 ans d'activité. De quoi envisager l'avenir avec sérénité, même si tout n'est pas forcément rose pour Airbus. Récemment, l'Organisation mondiale du commerce a jugé que l'entreprise avait profité de subventions de plusieurs États membres de l'UE, des subventions qui ne répondaient pas aux normes de l'OMC. Un nouveau bras de fer s'est engagé entre l'Europe et les États-Unis dans ce dossier.